Il vous est né un Sauveur.
Tu es mon fils bien-aimé
Or en ces jours-là, Jésus vint de Nazareth en Galilée et se fit baptiser par Jean dans le Jourdain.
À l’instant où il remontait de l’eau il vit les cieux se déchirer et l’Esprit comme une colombe descendre sur lui.
Et des cieux vint une voix :
« Tu es mon fils bien-aimé, il m’a plu de te choisir. »
(Marc 1, 9-11)
Heureux les pauvres de cœur.
Laissez les enfants venir à moi.
« Laissez les enfants venir à moi ; ne les empêchez pas, car le Royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux.
En vérité je vous le déclare, qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas. »
(Luc 18, 16-17)
Faites tout ce qu'il vous dira.
Or le troisième jour, il y eut une noce à Cana de Galilée et la mère de Jésus était là. Jésus lui aussi fut invité à la noce ainsi que ses disciples. Comme le vin manquait, la mère de Jésus lui dit : « Ils n’ont pas de vin. » Mais Jésus lui répondit : « Que veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore venue. » Sa mère dit aux serviteurs : « Quoi qu’il vous dise, faites-le. » Il y avait six jarres de pierre destinées aux purifications des Juifs ; elles contenaient de deux à trois mesures. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d’eau ces jarres. » et ils les emplirent jusqu’au bord. Jésus leur dit : « Maintenant puisez et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent et il gouta l’eau devenue vin – il ne savait pas d’où il venait, à la différence des serviteurs qui avaient puisé l’eau – aussi il s’adresse au marié et lui dit : « Tout le monde offre d’abord le bon vin et, lorsque les convives sont gris, le moins bon ; mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à maintenant ! » Tel fut, à Cana de Galilée, le commencement des signes de Jésus. Il manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui.
(Jean 2, 1-11)
Ceci est mon corps.
Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir rendu grâce, il le rompit et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous, faites cela en mémoire de moi. » Il fit de même pour la coupe, après le repas, en disant : « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites cela toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi. » Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.
(1 Corinthiens 11, 23-26)
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?
Et à trois heures, Jésus cria d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lama sabaqthmi ? » ce qui signifie « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Certains de ceux qui étaient là disaient, en l’entendant : « Voila qu’il appelle Élie ! » Quelqu’un courut, emplit une éponge de vinaigre, et la fixant au bout d’un roseau, il lui présenta à boire en disant : « Attendez, voyons si Élie va venir le descendre de là. » Mais poussant un grand cri, Jésus expira. Et le voile du Sanctuaire se déchira en deux du haut en bas. Le centurion qui se tenait devant lui, voyant qu’il avait expiré, dit : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu. » Il y avait aussi des femmes qui regardaient à distance, et parmi elles Marie de Magdala, Marie mère de Jacques le Petit et de José, et Salomé. Qui le suivaient et le servaient quand il était en Galilée ; plusieurs autres qui étaient avec lui à Jérusalem.
(Marc 15, 34-41)
Alors, leurs yeux s'ouvrirent.
Ils approchèrent du village où ils se rendaient, et lui fit mine d’aller plus loin. Ils le pressèrent en disant : « Reste avec nous car le soir vient et la journée déjà est avancée. » Et il entra pour rester avec eux. Or quand il se fut mit à table avec eux, il prit le pain, prononça la bénédiction, le rompit et le leur donna. Alors, leurs yeux s’ouvrirent et ils le reconnurent, puis il leur devint invisible. Et ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur ne brûlait-il pas en nous tandis qu’il parlait en chemin et nous ouvrait les Écritures ? »
(Luc (24, 28-32)