Il vous est né un Sauveur. 

Et le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire.
(Jean 1, 14)
 
L’ange dit aux bergers :
« Soyez sans crainte, car voici :
Je viens vous annoncer une bonne nouvelle
Qui sera une grande joie pour tout le peuple :
Il vous est né aujourd’hui, dans la ville de David
Un Sauveur qui est le Christ Seigneur ;
Et voici le signe qui vous est donné :
Vous trouverez un nouveau-né emmailloté
Et couché dans une mangeoire.
(Luc 2, 10-12)

 Tu es mon fils bien-aimé

Or en ces jours-là, Jésus vint de Nazareth en Galilée et se fit baptiser par Jean dans le Jourdain.
À l’instant où il remontait de l’eau il vit les cieux se déchirer et l’Esprit comme une colombe descendre sur lui.
Et des cieux vint une voix :
« Tu es mon fils bien-aimé, il m’a plu de te choisir. »
(Marc 1, 9-11)

 Heureux les pauvres de cœur.

A la vue des foules, Jésus monta dans la montagne … ses disciples s’approchèrent de lui.
Et prenant la parole, il les enseignait :
Heureux les pauvres de cœur : le Royaume des Cieux est à eux.
Heureux les doux : ils auront la terre en partage.
Heureux ceux qui pleurent : ils seront consolés.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice : ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux : il leur sera fait miséricorde.
Heureux les cœurs purs : ils verront Dieu.
Heureux ceux qui font œuvre de paix : ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice : le Royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous lorsqu’on vous insulte, que l’on vous persécute et que l’on dit faussement contre vous toute sorte de mal à cause de moi. Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ; c’est ainsi en effet qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés.
(Matthieu 5, 1-11)

 Laissez les enfants venir à moi.

« Laissez les enfants venir à moi ; ne les empêchez pas, car le Royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux.
En vérité je vous le déclare, qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas. »
(Luc 18, 16-17)

 Faites tout ce qu'il vous dira.

Or le troisième jour, il y eut une noce à Cana de Galilée et la mère de Jésus était là. Jésus lui aussi fut invité à la noce ainsi que ses disciples. Comme le vin manquait, la mère de Jésus lui dit : « Ils n’ont pas de vin. » Mais Jésus lui répondit : « Que veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore venue. » Sa mère dit aux serviteurs : « Quoi qu’il vous dise, faites-le. » Il y avait six jarres de pierre destinées aux purifications des Juifs ; elles contenaient de deux à trois mesures. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d’eau ces jarres. » et ils les emplirent jusqu’au bord. Jésus leur dit : « Maintenant puisez et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent et il gouta l’eau devenue vin – il ne savait pas d’où il venait, à la différence des serviteurs qui avaient puisé l’eau – aussi il s’adresse au marié et lui dit : « Tout le monde offre d’abord le bon vin et, lorsque les convives sont gris, le moins bon ; mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à maintenant !  » Tel fut, à Cana de Galilée, le commencement des signes de Jésus. Il manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui.
(Jean 2, 1-11)

Ceci est mon corps.

Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir rendu grâce, il le rompit et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous, faites cela en mémoire de moi. » Il fit de même pour la coupe, après le repas, en disant : « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites cela toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi. » Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.
(1 Corinthiens 11, 23-26)

 Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? 

Et à trois heures, Jésus cria d’une voix forte : « Éloï, Éloï, lama sabaqthmi ? » ce qui signifie « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Certains de ceux qui étaient là disaient, en l’entendant : « Voila qu’il appelle Élie ! » Quelqu’un courut, emplit une éponge de vinaigre, et la fixant au bout d’un roseau, il lui présenta à boire en disant : « Attendez, voyons si Élie va venir le descendre de là. » Mais poussant un grand cri, Jésus expira. Et le voile du Sanctuaire se déchira en deux du haut en bas. Le centurion qui se tenait devant lui, voyant qu’il avait expiré, dit : « Vraiment, cet homme était Fils de Dieu. » Il y avait aussi des femmes qui regardaient à distance, et parmi elles Marie de Magdala, Marie mère de Jacques le Petit et de José, et Salomé. Qui le suivaient et le servaient quand il était en Galilée ; plusieurs autres qui étaient avec lui à Jérusalem.
(Marc 15, 34-41)

 Alors, leurs yeux s'ouvrirent. 

Ils approchèrent du village où ils se rendaient, et lui fit mine d’aller plus loin. Ils le pressèrent en disant : « Reste avec nous car le soir vient et la journée déjà est avancée. » Et il entra pour rester avec eux. Or quand il se fut mit à table avec eux, il prit le pain, prononça la bénédiction, le rompit et le leur donna. Alors, leurs yeux s’ouvrirent et ils le reconnurent, puis il leur devint invisible. Et ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur ne brûlait-il pas en nous tandis qu’il parlait en chemin et nous ouvrait les Écritures ? »
(Luc (24, 28-32)

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