Prières et crêpesDeux prières sur une crêpe

Avec les enfants aujourd’hui, nous avons lu l’Evangile et regardé la figure de la personne consacrée avec le vieillard Syméon.

Nous avons vu qu’il y avait trois choses : le vieillard Siméon, figure des personnes consacrées, la présentation de Jésus au Temple, et aujourd’hui, nous fêtons aussi la Chandeleur, la « fête des crêpes ».

Nous avons discuté autour de ces trois points, et constaté qu’ils se rejoignaient bien : la crêpe avec sa forme ronde disait le soleil ; Jésus c’est la lumière de notre vie qui est notre soleil.

Prières et crêpes

Les enfants ont reçu une crêpe un peu particulière. Sur une face, il y a une prière à dire par les enfants, sur l’autre face, il y a celle des parents. Les enfants ont aussi reçu un lumignon parce que Dieu est la lumière de notre vie.

Les enfants, avec les parents, durant le temps de prière pris en commun, sont donc invités à allumer ce lumignon et à dire ces deux prières des enfants et des parents.

Prières et crêpes

 

« Jésus, sois ma lumière et guide-moi. »
 
« Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »

Liturgie de la Parole des très jeunes enfants du dimanche 02 février 2020, messe de 10h, église Saint Pierre Chanel.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-40)

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
« Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage,
demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.

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