Est-ce que j’aime mon prochain comme Jésus m’aime ?

Avec les enfants aujourd’hui, nous avons lu l’Evangile ; les enfants ont surtout été intéressés par la partie du figuier qui ne pousse pas.

Le figuier qui ne pousse pas, nous en avons parlé, et c’était en lien avec notre jardin de carême que nous faisons avec les enfants depuis deux semaines.

Nous avons vu que, pour que ça pousse, il fallait s’occuper du jardin, s’occuper du figuier, le vigneron propose cela, et Jésus s’occupe de nous aussi.

Pendant le temps du Carême, Jésus nous rappelle qu’il faut tourner son cœur vers Dieu pour être son ami.

Dans cet Evangile, nous avons aussi vu que Jésus nous appelait aussi à changer de vie en changeant nos cœurs.

Nous avons aussi parlé des fruits. Les enfants ont dit que nous pouvions sortir de bons fruits aussi de nos cœurs : des bonnes actions, des bonnes pensées.

Notre fleur aussi se remplit chaque dimanche.

Et nous avons terminé par une petite question proposée aux enfants et sur laquelle les enfants ont discuté et vont aussi réfléchir avec vous jusqu’à la semaine prochaine : est-ce que j’aime mon prochain comme Jésus m’aime ?

Liturgie de la Parole des très jeunes enfants du dimanche 24 mars 2019, messe de 10h, église Saint Pierre Chanel.

Référence Évangile du jour : Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 13, 1-9)

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ?
Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.
Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ?
Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. »
Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas
Il dit alors à son vigneron : ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’
Mais le vigneron lui répondit : ‘Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.
Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.’ »

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